Magazine Cinéma
2x13 : Scratches (***)
Après l’altercation chez la famille de Jessica, Bill et Sookie se disputent sur le chemin du retour. Comme souvent, miss Sookie reste butée et sort de la voiture. Vient ensuite l’agression, par une créature mystérieuse, inconnue même d’Eric. Bill tente de la sauver avec son sang et une étrange réaction aggrave plutôt la situation. Sookie est soignée au Fangtasia et récupère ses forces. Assez pour découvrir que Lafayette est prisonnier dans les sous-sols. Ca tombe bien, il fallait une raison à Eric pour que Sookie lui rende service.
Du côté de Jessica, elle se réveille le soir d’après seule dans la maison de Bill, une bonne occas’ pour aller faire un tour au Merlotte’s. Elle y rencontre Hoyt, qui n’a pas peur de la jeune vampire, et qui lui permet de reprendre confiance en elle. Elle a beau être une toute jeune suceuse de sang, elle m’apparaît plus mature et posée que Sookie, à voir comment son personnage va évoluer dans les prochains épisodes…
Pour Jason, la lumière commence à s’allumer là-haut, le couple du Fellowship of the sun met en tout cas tout en œuvre pour qu’il s’intègre bien dans la politique de la communauté, être honnête, raconter ses expériences liées aux vampires et surtout ne pas avoir de remords pour eux. Le petit couple me fait bien marrer, lui avec sa jolie chemise jaune, pull sur les épaules et elle avec son sourire parfait, prêchant la bonne parole. J’ai hâte de découvrir la suite…
Et puis, il y a Tara qui commence à se poser quelques questions, surtout quand elle assiste à la petite soirée sauterie qu’a organisée Maryann, et que bizarrement Tara est insensible aux charmes ambiants. Sam essaie de la prévenir du danger qui rôde, mais sans avoir beaucoup plus d’explication, il décide de quitter Bon Temps quelques jours. Il fait une dernière petite promenade avec le chien, et est rejoint par la nouvelle serveuse, dans le lac, où on découvre de dos les mêmes blessures que celles de Sookie…
Un épisode bien sympathique qui perd un peu de rythme en cours d’épisode. J’aimerais déjà connaître le fond de tous ces mystères, mais patience patience…