La vie se divise en deux catégories : ceux qui ont une climatisation et ceux qui ont un ventilateur. Nous, on a opté... pour ouvrir les fenêtres en guettant le moindre souffle de vent. Et tout cela pour vous annoncer que la dernière chronique pourrait faire monter la température de quelques degrés, puisque le livre d'Anne Bert, L'eau à la bouche, ne manque pas d'évocations explicites.
Ouvrage à déconseiller probablement aux moins de XX ans, et à ceux qui n'ont pas l'esprit assez large pour savourer un érotisme certain...
