Nos confrères de BibliObs ont mis en ligne un bel article écrit par un mauvais. Un de ces êtres à l'âme sombre pour qui les mots ont une valeur, de même que les textes, et qui croit bon de dire qu'une chose est à vomir littérairement (NdR : l'expression n'est pas de lui...), plutôt que de céder au consensus respectueux.
Et on ne va pas lui donner tort, tiens !
« Je pensais, naïvement, naguère, que seuls les journalistes supportaient mal que l'on ironise sur les écrivains. À celui qui se risque à quelques lazzis sur tel romancier surévalué ou tel journaliste littéraire peu regardant sur la déontologie, on présente vite la note à payer. La critique vache est toujours considérée comme salissante. »
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