Après avoir hier livré un rapport sur l'état de l'édition outre-Atlantique, et dressé un inventaire des malaises régnant chez les professionnels, Publishers Weekly annonce une autre petite mauvaise nouvelle, très brièvement.
Toute petite, en fait, et peut-être pas si mauvaise...
Les ventes de livres ont en effet diminué de 3 % pour le mois de mai, s'élevant à 1,11 milliard $, selon les estimations délivrées par le Census Bureau.
Une chute légèrement inférieure à celle connue en avril, de 3,2 %, et plus généralement sur l'ensemble des cinq premiers mois de l'année, qui, en regard de 2008, aura chuté de 3,8 %, pour s'élever à 6,31 milliards.
Signe que la crise a atteint son point maximum, et que seule la relance peut désormais avoir lieu ? Hmm...