Sarajevo, les moins de 20 ans n'en ont probablement que le souvenir laissé par leur livre d'histoire, car ils étaient bien jeunes durant les affrontements qui sévirent dans cette ville. Sait-on encore pourquoi ? Des histoires tribales presque, ethniques, corrigera l'historien...Au sein de cette désolation, vivait pourtant un violoncelliste, historique. Et qui se mit à faire ce qu'il savait le mieux, pour rendre hommage aux victimes : jouer du violoncelle.
Et tout particulièrement l'Adagio d'Albinoni. Le violoncelliste de Sarajevo, de Steven Galloway, c'est notre chronique du jour.
