
En février 2007, des vidéos de ces films d'animation ont été diffusées sur la plateforme, et suite à une demande de retrait, adressée à YouTube et laissée sans réponse, Bayard Presse a décidé de porter plainte.
Fait aggravant pour le TGI, qui a alors estimé que le site n'avait pas fait en sorte que les vidéos soient supprimées assez « promptement », ce qui lui a coûté 40.000 € de dommages-intérêts. Toute récidive serait par ailleurs condamnée d'une astreinte de 10.000 € par vidéo.
Et pour compléter la somme des 60.000 €, 10.000 € restent à payer pour contrefaçon à Bayard Presse, ainsi que 10.000 autres pour régler les frais du procès.
Joyeux galopin, ce petit ours brun.
Bayard Presse n'était pas disponible pour commenter cette décision.