Faut-il détruire FaceBook?

Ce n'est pas moi qui pose la question -- disons que pour moi la question ne se pose pas, je n'ai (toujours) pas (encore) de compte FaceBook -- mais l'animateur d'Infoman, une émission québécoise qui présente l'actualité sous une approche humoristique ... et, comme chacun le sait, il faut toujours se méfier des choses dites en plaisantant.

Pour ceux qui l'ignoreraient encore, FaceBook est un réseau social nord-américain (souvenez-vous !) , qui, pour caricaturer à l'extrême, combine l'aspect ludique dilettante d'un Myspace et le caractère austère et professionnel d'un LinkedIn. Voir une sélection de groupes chez Aziz vous en donnera une idée extrêmement précise. A ce jour, il n'existe qu'une version anglaise, mais dans quelques semaines, les versions traduites seront à portée de tous, dont vraisemblablement une version française.

Alors, avant la déferlante, voici un des points de vue spontané et mûri venu d'outre-Altantique. Parfois au contenu dont les références locales nous échappent, mais sur le fond les vraies questions sont posées. Et sur les comportements des utilisateurs et sur les contenus du site.

Alors, FaceBook, en être ou ne pas en être ? Vous, les accro de FaceBook vous y trouvez quoi ?

Update : Alors que j'objectais que, par exemple, dans les groupes créés se retrouvent globalement toujours les mêmes personnes, au moins pour les groupes à connotation professionnelle, voici un exemple de création utile puisqu'à ce jour ce groupe représente une des principales sources d'info sur la Birmanie et rassemble plus de 253 000 membres. De micro sites dans le site ...