Près de dix ans après avoir quitté l’université, Mitch se sépare de sa femme et doit se trouver une nouvelle demeure. Il loue une maison sur un campus universitaire ; Franck, qui vient de se marier, s’aperçoit qu’il est peut-être allé un peu vite ; et enfin Beanie, père de famille, vit une relation sans passion. Une vague de nostalgie les envahit et ils se réjouissent de transformer la maison de Mitch en fraternité. Soirées, bières et sexe édifient bientôt la maison au rang de plus branchée du campus. Les trois amis vont se confronter au recteur de l’université, qui n’est autre qu’un ancien camarade de classe qui veut résilier le bail de Mitch. Mais c’est sans compter les étudiants qui ont les ont adoptés et vont tout faire pour conserver cette noble institution au sein du campus. [résumé issu de Commeaucinéma.com]
Avec la surprise Very Bad Trip du même Todd Phillips il y a quelques semaines, pourquoi ne pas découvrir un autre film de sa filmographie ?
Malheureusement, on est ici pour le coup typiquement dans la comédie lourdingue et pas finaude avec Will Ferrell et compagnie (et cette fois, ça y est, avec ça et Step Brothers, je ne le supporte plus, c’est fini !)
On va donc de gags hyperboliques en blagues grasses, sans s’épargner les interludes sentimentaux et les messages moralisateurs, malgré l’apparence subversive du thème général. Luke Wilson, Will Ferrell et Vince Vaughn sont à peu près aussi bien lotis dans les trois rôles principaux ; on remarque Jeremy Piven en méchant doyen, plutôt efficace ; Juliette Lewis, horripilante à souhait comme d’habitude, heureusement peu longtemps à l’écran ; et Elisha Cuthbert et Ellen Pompeo en faire-valoir féminins. A noter un petit caméo de Sean William Scott, plutôt amusant.
Vite vu et vite oublié…