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La reine des damnés

Publié le 13 août 2009 par Olivier Walmacq

Genre: horreur année: 2002 durée: 1h40 l'histoire: En quête de popularité, le vampire Lestat s'initie à la musique rock. La raison de son succès: ses manières de vampire. Lestat fait alors la rencontre de Jesse, une étudiante. Fragile, la jeune femme s'pffre à Lestat et demande à être initiée par lui. la critique de Eelsoliver: Pas facile de réaliser un bon film de vampires... Ce genre de film a souvent été abordé par le cinéma, à tel point que tout a été dit... Enfin, ce n'est pas tout à fait vrai puisque dernièrement, le superbe Morse revisitait le mythe du vampire et lui donnait un second souffle. Mais parmi les films anecdotiques en matière de vampires, on relève un certain nombre de navets dont la reine des damnés fait partie. Le réalisateur, Michael Rymer, a pour ambition de signer un film horrifique clippesque. En résulte un long-métrage prétentieux, insipide et assez laid. Pourtant, la première demie heure de la reine des damnés laisse espérer un bon cru. En effet, cette première partie nous explique le passé d'un vampire puissant, Lestat. Le film retrace alors son parcours. Malheureusement, la suite du film est une véritable catastrophe. Tout le scénario tombe à plat lorsqu'une jeune femme, Jesse, attirée par le mythe de Lestat, cherche à être initiée au monde des vampires. Ralentis, puis accélération d'images, comme je le disais, il est évident que Michael Rymer vient du clip. Tout du moins, c'est ce qui se ressent de ce film creux et sans intérêt. Les personnages ne sont guère passionnants. On a bien du mal à accrocher au héros de l'histoire, Lestat qui cherche à faire connaître ses manières de vampires en chantant dans un groupe de rock débile. Furieusement mauvais! Note: 04/20


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