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Politique de la terre en Israël

Publié le 17 août 2009 par Jmichel
Comme illustration de mon billet
"Ce qui est à moi est à moi, ce qui est à toi se discute",
un article de René Backmann publié dans un encart du Nouvel Obs du 6 août 2009 et repris (à moins que ce ne soit le contraire) par Altermonde-sans-frontières :
"La maison de Ramla"
Extrait :
« J’apprenais surtout qu’on nous avait menti. J’avais toujours cru que les Arabes avaient fui devant les soldats israéliens en 1948 et qu’ils avaient abandonné leurs maisons comme des couards. Cette conviction était très commode. Elle nous lavait, nous, les nouveaux occupants de toute culpabilité, de tout remords : nous n’avions pas récupéré des maisons vidées par la force. Nous occupions des logements vacants, comme on disait à l’époque. »

Et la progression vers le Grand Israël continue par la tactique du salami : métaphore empruntée au commentaire d’un blog voisin, d’un pseudo-nommé georges972 (de Martinique ? ) qui l’explique ainsi : « On coupe une tranche a chaque fois jusqu'a ce qu'il ne reste rien. »
Quant à Abou dont vous trouverez la dernière banderille à mon encontre sur le blog d’Aïssa :
« Salut Jean-Michel,
est-ce que le schilmblick, s'il est turc et voisin, qu'en serait-il pour les palestiniens... est-ce que le scmhilblick ? »

Ecrit par : abou | 16.08.2009

il se sent mal à l’aise car Aïssa note que c’est l’élite israélienne, qui en a les moyens (et les passeports), qui fuit son pays pour éviter de faire son service militaire. Le service militaire en Israël, c’est plus long et plus dur qu’en France, alors quand on a le choix…

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