
L'avantage est que le service de Google est gratuit, en l'échange de quoi, le moteur récupère une copie de l'oeuvre numérisée, chose qui arrangerait bien les affaires de la BnF.
On se souviendra qu'en France, la bibliothèque de Lyon avait déjà franchi le pas en choisissant les services de Google Recherche de Livres - la version française du service Books.
On compte aussi dans les rangs des établissements qui se sont frottés à Google, l'Anglaise Bodleian. Mais le problème de l'exclusivité d'indexation autant que la gestion de droits d'auteur pour les livres déjà numérisés et encore sous droit continue de poser problème.
Nous allons contacter la BnF pour tenter d'en apprendre plus. La question en suspens serait : que deviendra Gallica 2 dans ce cas ?