Dans la série des séquences qui vous en mettent plein la vue, avec des répliques qui tuent et restent indéfiniment gravées dans votre mémoire, le "beau moustachu" (c'est ainsi que le présente Broots, qui est très sensible à la pilosité - pas seulement faciale - de ses héros d'enfance) qui a enchanté vos après-midi brumeux n'est pas le dernier. Avec cet aplomb qui le caractérise, ce regard torve qui en a hypnotisé plus d'une, cette dramatisation fondée sur un sens extrême du suspense (savoir attendre cette fraction de seconde nécessaire à faire moner la tension, s'arrêter, se retourner lentement, attendre encore avant d'asséner la phrase assassine), Chuck est incontestablement un maître du genre. Et tant pis pour Ben Stiller (pour ceux qui ont vu Dodgeball) !
Enjoy !Magazine Culture
Another cool stuff, by Broots