Erreur de jeunesse : donner gratuitement ses textes à lire n'est pas conseillé par l'éditeur de Stock. Une gratuité qui dérange ? Attendons un peu. En effet, l'éditeur explique que le métier se fait après lecture des manuscrits reçus - et l'on sait qu'il y en a trop, bien sûr - et qu'en fonction des éditeurs, le choix se fait, par affinités, ressenti, etc. Dès lors, un auteur qui ferait le tour des maisons d'édition trouverait forcément chaussure à son pied, et serait à un moment ou un autre accepté quelque part.
Ça, c'est la théorie.
En pratique, l'autoédition a le vent en poupe : il s'est publié plus d'ouvrages autoédités l'an passé aux États-Unis que de livre qui auront transité par une maison d'édition historique. Dans ce contexte, l'impression à la demande aura connu un décollage foudroyant, expliquions-nous, chose qui met quelque peu à mal les maisons historiques.
En outre, si la pratique se démocratise et que l'on arrive à un certain
L'exemple de Orgueil et préjugés et zombies en sera l'un des meilleurs. Rare, mais excellent...