Ils avaient alors défendu leur position devant le tribunal qui avait levé la sanction estimant que « les modalités des obligations de service [n'avaient] pas été précisées ».L'AFP révèle que, le ministère de l'Éducation nationale, a décidé de se pourvoir en cassation contre ce jugement.
Les enseignants incriminés, quant à eux, expliquent que les deux heures d'aides personnalisées pour les élèves en difficultés, alourdissent lourdement les journées de ceux-ci. Et avaient précisé, que les journées de cours en France sont parmi les plus longues d'Europe.
