Alors quand il renvoie des livres en masse aux éditeurs ceux-ci ont de quoi s'inquiéter. Le libraire n'a rien dévoilé des raisons de ce retour, ni aux éditeurs, ni aux journalistes.La directrice exécutive de l'Association of Candian Publishers (association des éditeurs canadiens), Carolyn Wood a expliqué que le retour n'a pas été le même suivant les éditeurs : « je dirais que cela varie entre nos membres. Certains ont mentionné qu'il [le retour de livre] a été lourd, mais d'autres sont OK ».
Pour elle, le plus dur c'est la perte soudaine des ventes à la veille de la rentrée littéraire, « Cela a beaucoup d'effets sur la trésorerie.Les ventes qui ont été faites sont tout à coup perdues, et souvent de manière inattendue. C'est dur parce que l'été c'est le moment où les éditeurs font imprimer les livres d'automne et les imprimeurs doivent être payés ».
