"Drôle de Noël de Scrooge"

Pour la troisième fois Robert Zemeckis remet le couvert. Après "Le pôle express" et "La légende de Beowulf", le réalisateur américain utilise une nouvelle fois la performance capture pour adapter l'un des classiques de la littérature anglo-saxonne, à savoir "Un chant de Noël" de Charles Dickens.

Le long métrage raconte l'histoire d'Ebenezer Scrooge, un vieil homme bougon et avare qui a consacré sa vie à accumuler des richesses. La veille de Noël, trois fantômes viennent lui rendre visite. L'un représente le Noël présent, un autre le passé et le troisième incarne le Noël du futur. Tous trois vont lui faire comprendre l'importance de la rédemption...

C'est Jim Carrey qui prête ses traits à Scrooge.

Le film sort le 25 novembre en France.


J'ai déjà eu l'occasion d'exprimer mes réserves à l'encontre de ce procédé (ma chronique sur "La légende de Beowulf"). J'ai vu les deux longs métrages et d'un point de vue technique nous frôlons la perfection.

L'esthétisme est une pure merveille. Mais le point négatif, à mon sens il va de soi, est que ces longs métrages manquent cruellement de sentiment et d'âme. L'objet est beau certes mais aucune chaleur ne s'en dégage. J'espère que nous trouverons un peu plus de coeur dans ce troisième film