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Cinematographie cinematographa

Par Soliblog
CINEMATOGRAPHIE CINEMATOGRAPHA


Mercredi 16 septembre de l'an de grâce 2009 jour des calendes grecques ? C'est ce que pourrait penser, et avec tort, l'attentif lecteur du PPB (Post-Propos Bis) de l'article de mercredi dernier 19H34.

C'est à cet instant trèèèèès précis du récit que les autres
se précipitent pour cliquer sur le lien bleu - le lien bleu - jurant,
mais un peu tard, qu'on ne les y prendrait plus.


Et pourtant, pourtant, pourtant (liste non exhaustive) c'est bien au retour de ma rubrique cinématographique saison deux mille neuf deux mille dix que vous assistez en ce moment même où me me lisez, car oui, je sais très bien que vous êtes en train de me lire, là, maintenant, oui chers lecteurs, je vous vois.

Silence angoissé du lectorat qui continue néanmoins à me lire.


Zeus sait que j'en ai vu des films depuis que I am back. De très bons, même que. Celui qui a mes honneurs en cet hellénique jour a pour titre "TU N'AIMERAS POINT" ("Eyes Wide Open" en anglish, "Einaym Pkukot" en hébraish, "Les Yeux Grands Ouverts" en anglish et hébraish en français traduishs ), est signé Haim Tabakman, est sorti en salles le 2 septembre dernier et avait déjà attiré mon regard lorsqu'il avait été sélectionné au Festival de Cannes 2009 dans la section 'Un Certain Regard' (regard... Regard...).
SYNOPSIS !
" Aaron est un membre respecté de la communauté juive ultra-orthodoxe de Jérusalem. Marié à Rivka, il est le père dévoué de quatre enfants.
Cette vie en apparence solide et structurée va être bouleversée le jour où Aaron rencontre Ezri.Emporté et ému par ce bel étudiant de 22 ans, il se détache tout doucement de sa famille et de la vie de la communauté. Bientôt la culpabilité et les pressions exercées par son entourage le rattrapent, le forçant à faire un choix. "
Contrairement à ce que pourrait laisser craindre la bande-annonce (gracieusement mise en ligne par moi-même en bas - pas le choix de l'endroit - Kermit si tu m'entends tu sais ce que j'en pense...) nul racolage ou je ne sais quel mélodrame gay dans ce magnifique film, une très belle histoire d'amour homosexuel impossible mais aussi le poids de la culpabilité et des pressions subies au sein d'une communauté on ne peut plus stricte et fermée sur elle même (cf. les terrifiantes 'Brigades de la Vertu').
Je cite le réalisateur : "Avoir des relations sexuelles avec une personne du même sexe, c'est une chose. Mais dans le monde orthodoxe, il faut savoir que l'homosexualité n'existe pas. Elle n'est pas reconnue comme étant une possibilité. "Tu n'aimeras point" est donc en quelque sorte un film de science-fiction. (...)
Pudeur, délicatesse, grande justesse, excellence des acteurs, quand j'aurai ajouté que Haim Tabakman a été le monteur du magnifique (décidément) "MY FATHER, MY LORD", si vous n'avez pas compris que je veux et j'exige que vous alliez voir ce film... hum !


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