L’un des divertissements favoris des élèves est de distribuer des surnoms à leurs professeurs. Dans ce roman qui met en scène l’animalité de chacun, il était important d’isoler certains d’entre eux pour les montrer à l’ouvrage.
Après celui que j’ai baptisé « Queue de Cheval » à cause de son catogan, j’ai imaginé « Goupil », à cause de ses airs finauds et sa capacité à tromper son monde. Même si je m’inspire de
choses vues depuis mes « années collège » (d’abord en qualité d’élève...), même si d’aucuns pourraient se reconnaître au détour d’une salle de classe, il va de soi qu’aucun de ces
professeurs ne s’inspire de collègues, ce que je prendrai le soin de rappeler en ouverture du livre.