Pourquoi le capitalisme peut mieux aider ceux qui n’ont pas d’assurance médicale présentement que le socialisme

Capitalisme - photo: © Thomas Röpke/CORBIS

J’imagine que la plupart d’entre vous entretenez des doutes par rapport à l’efficacité du capitalisme, donc ce court texte a pour but d’expliquer les subtilité du libre-marché, qui sont moins évidentes que les théories socialistes simplistes qui nous sont proposées.

Alors, je suppose que la plupart des gens se demandent « mais comment on peut s’occuper de tout ces gens qui n’ont pas d’assurance santé, on ne peut pas juste les laisser malade et les laisser mourir. » et souvent suivit de « il faut faire quelque chose, seulement le gouvernement peut nous aider à régler ce problème en augmentant les taxes et en instaurant un système de santé universel et « gratuit » pour tout le monde ».

Le problème est que ce que vous proposez comme « l’unique solution » implique que le gouvernement devra prélever l’argent nécessaire chez ceux qui travaillent et l’administrer en créant des services subventionnés qui « répondront » au besoin.

Il y a plusieurs problèmes avec ce concept, premièrement, c’est un modèle qui prône l’usage de la force ou de la violence en partant en forçant les gens à « donner » une partie de leur argent ou de leur temps à l’état. Peu importe la manière qu’on mets ça, c’est un vol en partant.

Deuxièmement, le modèle ne fonctionne pas: regardez l’histoire, les soins médicaux universels on été instauré en URSS; après un court bout de temps, la demande était plus grande que l’offre et les médecins étaient débordé alors pour passer plus de patients et économiser leurs ressources, ils ont commencé à botcher leur travail, à couper sur les anesthésiants et tout ça, et pendant tout ce temps-là la technologie médicale n’avançait jamais, même que parfois ils régressaient. Et à Cuba, et bien, la technologie n’avance pas là non plus et si ça ne serait pas du tourisme, ils feraient pas mal dur.

Et pour le Québec, vous allez me dire que c’est pas si pire, et oui, mais ce n’est pas soutenable, on est déjà les plus taxés en Amérique et le Québec n’arrivent pas encore à gérer ses dépenses, ils a maintenant besoin de l’argent des autres provinces. Et le Québec dans 20 ans, oubliez-ça, avec les baby-boomers prenant leur retraites et avec leur problèmes de santé, notre système ne fournira pas.

Et troisièmement, vous ne voudriez probablement pas vivre dans un pays où le gouvernement prends soins de tout vos « besoins » en redistribuant votre argent à tout le monde. Prenez Cuba, la Russie, l’Allemagne de l’est avant la chute du mur de Berlin, etc..
Beaucoup de gens de ces pays risquaient leur vie pour tenter d’en sortir tellement ils n’aimaient pas leurs conditions de vie. Ces pays ont tous dû mettre en place des moyens pour empêcher que les gens s’enfuient. Regardez les images dans les livres d’histoire, les encyclopédie ou sur le net de ce qu’avait l’air ces pays dans ce temps-là; tout était délabré, les gens crevait de faims, faisaient de longues files pour obtenir tel ou tel service du gouvernement, etc. Personne ne travaillait fort, et il n’obtenaient presque rien en retour.

Maintenant, quelle est l’alternative du capitalisme? Comment pouvons-nous « prendre soins » de ces gens malades sans assurances?
Bien premièrement, ce qu’on a aujourd’hui au Canada et aux États-Unis n’est pas du « vrai » capitalisme, ça on l’a perdu il y a environ 150 ans. Ce qu’on a aujourd’hui est un mélange du capitalisme avec du socialisme. Et la plupart, je dirais même toute, les partie de notre système que vous haïssez, proviennent du côté socialiste de notre système, les services pourris, les tonnes de lois et régulations stupides, les haut taux de taxation, les gros impôts, le fait que c’est difficile de se sortir de la pauvreté, de trouver une job de qualité, etc.

Le vrai capitalisme est basé sur la coopération volontaire, donc on ne peut pas forcer les autres à faire ou à donner ce qu’ils ne veulent pas. Il n’y a pas de monopoles ou de cartels qui peuvent faire et charger ce qu’ils veulent comme les cartels de l’essence ou le monopole du collège des médecins car ils sont illégaux.

Donc si on veut aider les gens dans le besoin par exemple, c’est fait par coopération volontaire, comme la charité, les fondations, les trucs comme les chevaliers de colombs, etc.
Ces organisations sont bien plus efficaces et bienveillante que les programmes coûteux du gouvernement. Les gens ne sont pas si cons, presque tout le monde connaît quelqu’un qui a un problème spécial à un moment ou un autre et veulent les aider, les riches et ultra-riches inclus, et ils se mettent ensembles et partent des charités, des fondations, des organisations, etc pour les aider. Ce n’est pas tout les gens qui vont faire ça, mais il y en a suffisamment.

Et ces gens qui donnent de leur argent ou de leur temps sont bien plus attentif à voir que leur argent soit bien utilisé et que les gens soient bien traités que les fonctionnaires, infirmières, travailleurs sociaux, etc, du gouvernement dont le comportement est dicté par les gouvernement et qui sont payé qu’ils soient excellent, bon ou complètement médiocres.

De plus, ces gens qui fondent ces charités, fondations et organismes ne visent pas à former des gens totalement dépendant de leur aide, mais cherchent à la fois à les valoriser en leur montrant et les encourageant et les aidant le plus possible à devenir autonome et indépendant et de subvenir à leurs besoins par eux-mêmes malgré leur problèmes. Ils leurs montrent des bonnes valeurs et tout ça, la plupart des gens riches veulent être perçues comme de bonnes personnes, laisser un héritage culturel à la société en guise de gratitude.
Présentement, la plupart ne font pas ça, le gouvernement s’occupent déjà des gens et mets constamment des bâtons dans les roues de ceux qui offrent des services alternatifs, même s’ils sont gratuits.

Vous voyez, beaucoup des gros hôpitaux et grosse universités réputées au Québec ont été construite par des dons de gens riches et non par le gouvernement, et ces gens riches et fondations n’ont pas lésiné sur la qualité, planchers de marbre, etc..

Si les gens n’auraient pas à supporter ces taxes exorbitantes, ces impôts accablants et tout ça, ils leur resteraient beaucoup plus d’argent à dépenser et pourraient s’occuper de payer une assurance-santé (qui reviendrait beaucoup moins cher que ce que les personnes et entreprises paient maintenant en impôts), d’avoir de l’argent pour investir, mettre de côté, donner à la charité, etc.

En conclusion, la solution socialiste au problème est une solution simpliste qui manque d’imagination et qui se résume à ça « Il y a un problème?, passons une loi l’interdisant et jetons de l’argent là-dessus », les choses ne sont pas aussi simple, on ne peut pas régler les problèmes aussi facilement (avez-vous remarqué?) pour régler les problèmes, il faut de l’intelligence, du savoir-faire, de l’imagination, innover, prendre des risques, s’adapter, faire attention, etc. Einstein n’a pas inventé sa théorie de la relativité sous les ordres d’un fonctionnaire du gouvernement, Henry Ford n’a pas inventé l’automobile de cette manière, mème chose pour l’électricité, le téléphone, les ordis, etc. Pour que ces trucs arrivent ils faut laisser les gens libres de poursuivre leurs intérêts et leur passions à travers la coopération volontaire et les échanges. On ne peut jamais éliminer les risques, les dangers, etc, comme le modèle socialiste suppose, mais on peut apprendre à les gérer.
C’est la survie, ça nécessite un effort, on ne peut pas s’attendre à ce que le gouvernement, un dieu, un gourou, etc, prendra soins de nous indéfiniment si seulement on fait tout ce qu’il dit. Ça c’est de l’esclavage. La liberté ça a un prix, ça prends un effort, ne vendez pas votre âme à quelqu’un ou quelque chose qui prétend vous offrir la sécurité absolue en échange de votre liberté et de votre obéissance inconditionnelle…

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