
Ces adolescents âgés de 16 à 18 ans se retrouvent alors dans un vide administratif total fortement préjudiciable à la suite de leur vie, ce qui implique, en retour, un coût important pour la société. Il est donc prioritaire de faire porter les efforts de la République sur ce contingent de jeunes laissé au bord du chemin.
Nicolas Sarkozy a dit vouloir s'engager dans « une guerre sans merci contre le décrochage scolaire ». Il s'agit d'encadrer ces jeunes et de leur proposer des solutions pour les remettre sur les rails de la réussite. Reste désormais à définir le cadre et les moyens pour suivre ces belles volontés...