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Bark cat bark :: cittadinanza / mathilde / modern fairytale ep

Publié le 01 octobre 2009 par Misterplum
BARK CAT BARK :: CITTADINANZA / MATHILDE / MODERN FAIRYTALE EP BARK CAT BARK :: CITTADINANZA / MATHILDE / MODERN FAIRYTALE EP BARK CAT BARK :: CITTADINANZA / MATHILDE / MODERN FAIRYTALE EP

BARK CAT BARK :: CITTADINANZA / MATHILDE / MODERN FAIRYTALE EP
11+ Antico Verrès
12+ Benque Viejo
13+ Deodoro Anthem
14+ Barivia in Bálsamo
15+ Hyksos
16+ Viravira Fever
17+ Berovo Berovo Bravo
18+ Haipakka
19+ The Panther in Zaventem
10
+ The Clock from Svanaasen
11
+ Obera Sundown
12
+ Draugur
13
+ Lac Fourchu
Bark Cat Bark
Cittadinanza [Dedicated]
14 Août 2009
Bark Cat Bark n'est pas le nom d'un énième groupe de rock indépendant à la mode. Sous ce nom se cache Josh Todd, un multi-instrumentiste franco-croate très prolifique, créateur de rêveries instrumentales aux sonorités aussi diverses qu'originales. Les trois albums critiqués dans cet article sont disponibles gratuitement en qualité optimale sur le site du label ; vous trouverez les plus vieilles parutions le blog de l'artiste. Ce qui surprend le plus dans Cittadinanza, c'est la variété des styles. L'influence de Yann Tiersen est évidente, autant dans les instruments utilisés (accordéon, piano, violon, etc.) que dans la construction des morceaux. Cependant, cet album folklorique va bien plus loin, rassemblant des saveurs musicales des quatre coins du monde. L'introduction réconfortante laisse ainsi place à des fanfares de cuivres sud-américaines (Benque Viejo) et à des tangos vivifiants (Barivia in Bálsamo, Haipakka). Là, on est plutôt sous l'influence de Beirut. L'ambiance de Cittadinanza est plutôt festive et il n'y a pas que du tango : on danse sur des airs folkloriques des balkans (Viravira Fever, Berovo Berovo Bravo) et on se laisse emporter par des valses à l'accordéon (Deodoro Anthem et le semi-électronique The Panther in Zaventem), instrument souvent utilisé par l'artiste. L'entrain explosif de ces morceaux pourtant répétitifs mène à des horizons plus mystérieux sur les quatre dernières pistes, jouées au piano : trois sont des morceaux lents à l'ambiance apaisante et le dernier, Lac Fourchu, est une belle ode classique. Il est finalement difficile de cerner ce disque aux mille couleurs, les rythmes et l'humeur changeant d'un instant à l'autre. C'est tout de même un beau voyage et on s'y replonge avec plaisir.
7/10


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