Cette
rubrique suit l’actualité éditoriale et présente les derniers ouvrages reçus
par Poezibao. Il ne s’agit pas de
fiches de lecture ou de notes critiques et les présentations font souvent appel
aux informations fournies par les éditeurs.
°Revue Europe, n° 966, Rimbaud
°Luc Bénazet, nÉcrit, Nous
°Christophe Manon, Univerciel, Nous
éditeur
°Revue Les Hommes sans épaules, n0 27
°Georges Jean, Les Mots du dedans,
Librairie-Galerie Racine
°Pierre-Marc Levergeois, Camille Claudel
et Auguste Rodin, ces mains éblouies, éditions Alphée-Jean-Paul Bertrand
Fiches détaillées de tous ces livres en
cliquant sur « lire la suite de…. »
•Revue Europe
n° 966, octobre 2009
18,50 €
Un fort dossier Rimbaud dans ce nouveau numéro de la revue Europe avec en particulier des études et textes de Tristan Tzara,
Volker Braun, Jean-Pierre Bobillot, Jean-Luc Steinmetz, etc. On trouvera aussi
dans cette livraison un hommage à Pierre Gamarra et dans le cahier de création
des textes de Zainab Al Tweijrie, Maria Luisa Vezzali, David George, René
Kochmann et Gérard Farasse.
•Luc Bénazet
nÉcrit
coll. Antiphilosophiquee, Éditions Nous
16 € - sur le site de
l’éditeur
« Si le mot nÉcrit est un stimulant, il signifie le début, ce dont il
faudrait s’arracher, sauf à ne rien courir. Aussi verra-t-on comment aller de
n/écrit à l’écrit, avec toute la passion de la lettre dont on se montrera
capable, et comment le coefficient du négatif, alors se réduirait. Le texte de nÉcrit est vu comme un progrès vers une
position d’écriture, à laquelle on toucherait, si nulle posture a priori ne
sait garantir sa tenue. Une position d’écriture, dont on voudrait qu’elle
obéisse à une loi (promesse) d’une transformation continuelle ; et, les
obstacles qu’on aura rencontrés dans la marche, il faudra bien qu’on les
considère, si ″la poésie a pour but la vérité pratique″ (Isidore
Ducasse). » (Dos du livre)
Luc Bénazetest né en 1967, vit et
travaille à Paris. Il a publié des textes dans les revues Grumeaux et MIR et a
contribué à deux fils, L’été à Zedelbeeck et Jours tranquilles à Sarajevo.
•Christophe Manon
Univerciel
coll. Disparate, éditions Nous
12 € - sur le site de
l’éditeur
« Nous sommes des forces affirmatives et indisciplinées. L’insubordination
est notre allure naturelle. Nous répudions tout compromis avec
l’état actuel des choses. Ni humbles, ni impuissants,
ni soumis, nous n’obéissons qu’à nous-mêmes. Non pas
à nos désirs, mais à nos volontés.
Nous sommes les semeurs des paroles urgentes et des
idées qui sauvent.
nos rêves peuvent affronter l'armée des
faits et la
mettre en déroute. » (dos du livre)
Christophe Manonest né en 1971, vit et
travaille à Paris & codirige les éditions ikko er la revue MIR.
•Revue Les Hommes sans épaules
n° 27, nouvelle série/premier semestre 2009
17 €
Au sommaire de cette livraison, notamment des textes de Christophe Dauphin,
Georges-Emmanuel Clancier, Werner Lambersy, Francesca Yvonne Caroutch, Jacques
Blot, un dossier « Attila Jozsef et la poésie magyare » et une étude
sur l’œuvre de Claudine Bohi par Paul Farellier.
Poezibao a aussi reçu
•Georges Jean, Les Mots du dedans,
Librairie-Galerie Racine, 20 €
Pâle soleil/Vertige//Au loin la ville/ Obscure//Je suis parti/J’assume//Le
revers/Et la face//Pour parole/De sang//Qui demeure/Perdue//Sur une page
vierge/Pour des mots retournés
•Pierre-Marc Levergeois, Camille Claudel
& Auguste Rodin, Ces mains éblouies, Éditions Alphée - Jean-Paul
Bertrand, 2009, 21,90 €.
« Camille Claudel et Auguste Rodin. Elle a 18 ans, lui 44. Ils sont
marqués par le destin tout au long de leur vie. Leurs choix, leurs travaux
déchaînent les passions, suscitent les enthousiasmes et les haines. Drames,
crises, misère, assiègent leur quotidien, dès le départ promis aux remous. Il
leur faudra vaincre le sort ! Voici la flamboyante odyssée de deux sculpteurs
immortels. L'ouvrage inscrit la trajectoire de ces génies artistiques dans leur
siècle et montre le monde tel qu'ils l'ont connu, interrogeant les gens, les
faits, les œuvres et l'Histoire. La biographie s'efface alors derrière
l'aventure humaine. Ce XIXe siècle, qui ne cesse de fasciner le nôtre, revit
avec ce couple dans toute sa complexité, sa grandeur et ses drames. Adoptant
tour à tour le ton du récit classique, celui des rêveries artistiques, la prose
ardente des amants, et rendant un discret hommage à l'art du cinéma, l'auteur
nous livre un regard original et envoûtant sur ces mains éblouies. »(Dos
du livre)