Le plus dur, dans cette période, c'est en effet l'attente : celle qui ronge, qui dévore, qui angoisse, de savoir si oui ou non on aura le Renaudot, le Goncourt, le Femina, ou n'importe quoi pourvu que l'on figure dans les listes. Pour les éditeurs, c'est pire encore : l'objectif de certains n'est pas le prix lui-même, mais de rester le plus longtemps possible dans la liste...
Et pour certains auteurs... Bah, Julien Allès a encore fait des siennes...