Les bruits du dehors m’arrivent dans leur vraie matérialité, une page s’ouvre, peut-être la dernière, alors mieux vaut ne pas la rater. Les bruits, les odeurs, les souvenirs, mon corps, mon sexe, tout se mélange et c’est de se mélange là que je vis, une vie plus intense, plus drôle, plus forte, éternelle. Tout ce qu’on nous apprend est faux. La seule issue est dans la connaissance, ce que précisément on veut nous empêcher.