Moment de bonheur à la bibliothèque Gabrielle-Roy mercredi soir, un “rendez-vous de la BD” avec Monsieur Paul lui-même, Michel Rabagliati. On peut dire que c’était un grand cru pour ma première visite à ces rendez-vous mensuels animés par Michel Giguère, une “tête” de BD qui connaît ça et enseigne lui-même le sujet depuis 20 ans, il a le don de rendre une discussion intéressante et divertissante.
Une heure trente passée trop vite où, à partir de planches tirées de tous les albums de Paul et en lançant quelques mots clés à l’auteur, on savoure des anecdotes sur sa carrière, son oeuvre, ses inspirations. En bonus, moi qui n’avait pu avoir ma dédicace lors du Salon du livre, j’ai enfin eu droit à la griffe de Michel Rabagliati sur mon Paul à Québec!
L’avoir su, j’aurais également pu emporter avec moi ma BD de Burquette et ma nouvelle lecture, Tuer Vélasquez (récent cadeau de Burp!), car quelques auteurs de BD de Québec Francis Desharnais et Philippe Girard assistaient eux aussi à la conférence. Timidité mal placée, je n’ai pas fait mon “coming out” de fan. Je me reprendrai…
Gregory Charles
Simple commentaire sur la couverture journalistique concernant la rentrée parisienne de Gregory Charles. J’avais lu quelques “tweets” à propos de l’analyse faite par Influence Communication et ce matin j’ai entendu Jean-François Dumas (boss d’IC) en parler au 93,3. Constat? Malgré les articles publiés un peu partout ici au Québec sur le “triomphe” de GC, il semble qu’au total la couverture là-bas se limite à une seule critique publiée dans un journal parisien, 1 mention à la radio et 3 mentions à la télé. C’est tout. Alors c’est pourquoi tout ce tapage? Pourquoi nous faire croire à un immense succès?