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Dans Vodkaster, il y a aussi « ster »

Par Rom_j

Vendredi dernier, pour fêter le week end, les amis Alex et François de Geek Culture ont organisé une Interview de David, aka IMTheRookie de Vodkaster. Comme il fallait remplir le quota de blogueurs non influents, j’ai été convié à cette petite sauterie, histoire d’en savoir plus sur les coulisses de ce beau service qu’était Vodkaster, et surtout de prendre des pots avec trois joyeux drilles.

Vodkaster

Le service a déjà été brillamment présenté à de nombreuses reprises – comme ici ou – , preuve du talent qu’a cette start-up française à faire parler d’elle. En voici  rapidement le principe : Vodkaster est un service inédit d’agrégation d’extraits de films. Indexés par titre, catégorie, mots clé, l’ambition à terme de Vodkaster est de référencer tous les extraits de films existants et, encore mieux, n’existant pas encore grâce à leur système de découpage d’extraits. Tout l’intérêt de la plate-forme est la façon d’organiser les extraits en playlists, ou en liens cinéphiles, mettant en valeur des références qui ne sautent pas aux yeux ou des thèmes récurrents, le tout dans la grande variété du cinéma.

Durant cette interview, David nous a appris que Vodkaster développait de nombreuses applications autour de ces extraits de films : blind test cinéphiles et autres jeux amusants prétextes pour boire des stères de Vodka. Voilà donc pour la justification de mon titre douteux.

Vodkaster

Désormais culte grâce à Vodkaster .

Puisque ce blog se veut un peu éco sur les bords, parlons rapidement du business model de Vodkaster. Il est principalement fondé sur les revenus publicitaires – d’autres formules complémentaires étant à l’étude. Comme tout réseau social naissant, il n’est actuellement pas question de retour financier mais plutôt d’un cercle vertueux indispensable à son bon fonctionnement : la construction de l’audience. Plus celle-ci se fera nombreuse, plus il y aura d’extraits indexés et vice versa.  En parallèle, plus le trafic augmentera et plus le catalogue pourra s’étendre.

Car rien ne serait possible sans l’accord préalable des ayants-droits, pour l’instant obtenu grâce au positionnement de Vodkaster comme une plate-forme de promotion des films. Il est vrai qu’en se baladant sur cette plate-forme, on a envie de faire une razzia de DVD, et c’est ce qui intéresse pour l’instant les distributeurs. Lorsque l’audience sera assez nombreuse, la monétisation pourra démarrer et par là même une rétribution plus significative des ayants-droits.

La morale de l’histoire : allez faire des playlists sur Vodkaster !

Retrouvez l’intégralité de l’ITW, retranscrite avec amour par François par ici.


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