Le constat est sans appel : c'est une très bonne surprise qui s'annonce pour les fans de la première heure, comme pour les déçus du premier opus, déception causée par la trop grande répétitivité des actions imposées au joueur.
Les actions proposées seront donc beaucoup plus diversifiées, il ne faudra plus refaire exactement les mêmes choses avant chaque assassinat, le contexte changeant en fonction de la cible à éliminer.
Le personnage lui-même, Ezio, pourra être personnalisé : couleur des vêtements (oui, c'est un gadget), possibilité de transporter des armes et différents objets ; apparition d'un palais à gérer, pour avoir quelque chose à faire entre deux missions. Ladite gestion du domaine entrainant l'apparition d'un élément curieusement oublié dans le premier volet : l'argent. Et avec l'argent, on peut s'offrir de nouvelles armes, de nouveaux équipements, etc.
Source de la vidéo : Clubic
Retrouver notre commanditaire dans une échoppe, débloquer la carte du quartier en atteignant sa plus haute cime puis se débarrasser de cinq archers patrouillant sur les toits de la ville. [...] les missions comptent désormais plusieurs étapes. Et nous ne parlons pas d'une succession de petites missions - toujours les mêmes - comme en proposait le premier volet. Chaque mission d'assassinat proposera des sous-objectifs propres. Ici il faut assassiner des gardes mais il pourrait aussi bien s'agir de commettre un larcin dans une autre mission. C'est dans cette gradation et cette variété des objectifs que se trouve donc la réponse aux frustrations formulées par les joueurs au terme du premier chapitre d'Assassin's Creed.
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Pacman
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