Virgil, la malédiction

genre: horreur (interdit aux - 12 ans)
Année: 1989
Durée: 1h30

l'histoire: Au cours d'une séance de sorcellerie, Michael libère involontairement des forces diaboliques. Plusieurs meurtres sont commis dans son entourage et tout semble accuser Michael.

la critique de Eelsoliver:

Après une séance de sorcellerie, Michael et ses potes sont attaqués par un démon vengeur. Ce qui semblait être une soirée amusante, va tourner au cauchemar.
Le démon va alors s'emparer du corps de l'un des amis de Michael et assassiner tous ceux qui étaient présents ce soir-là.
Voilà un scénario peu original, vu et revu et plutôt embarrassant pour un film d'horreur peu ambitieux.

Un bon résumé de ce Virgil, la malédiction. Le héros, Michael, est alors pris d'hallucinations terrifiantes. Ses yeux deviennent rouges et il voit alors les crimes se dérouler sous ses yeux.
Il est rapidement soupçonné par la police: Michael n'a pas d'autre choix que de retrouver le meurtrier sanguinaire. Nous sommes donc en présence d'un petit slasher, sans aucune prétention.
Sans compter certaines scènes ridicules, notamment lorsque le héros affronte le monstre dans son pyjama du dimanche... A la limite du nanar. Mais Virgil, la malédiction reste tout de même un gros navet.

Le film est assez bavard et les meutres assez rares. Pas de quoi hurler ni d'être spécialement terrifié par cette série B horrifique qui a bien mal vieilli.
Par certains points, on sent l'influence d'Halloween, la nuit des masques, de John Carpenter sur ce film, le talent et la réalisation en moins.
En résumé, un film d'horreur mineur et particulièrement ennuyeux qu'il convient de zapper rapidement de son esprit.

Note: 04/20