Magazine Cinéma

Exterminator

Publié le 09 novembre 2009 par Olivier Walmacq

exterminator

genre: sécuritaire (interdit aux - 12 ans)
année: 1980
durée: 1h30

l'histoire: Guerre du Vietnam: John et ses deux compagnons sont capturés et torturés par des Viet-Congs. Une expérience douloureuse qui laissera quelques traces... New-York, 1980. John voit son pote Michael se faire tabasser par des loubards, le paralysant à vie. John décide de faire justice lui-même et part à la recherche des voyous.

la critique de Eelsoliver:

Il ne faut pas oublier qu'Un Justicier dans la ville, le film de Michael Winner, qui fera de Charles Bronson un acteur dans la veine des purs et durs, a largement marqué les esprits.
Du milieu des années 70 jusqu'au milieu des années 80, tous un tas de films américains sur la vengeance et la loi du Talion pointeront le bout de leur nez.
C'est évidemment le cas d'Exterminator.

Un titre ô combien racôleur pour une affiche qui ne l'est pas moins. L'ensemble du film de James Glickenhaus est peu surprenant.
Un homme, John, est revenu traumatisé de la Guerre du Vietnam. Là-bas, il a évidemment subi d'atroces souffrances: il a vu ses potes se faire buter par des Viet-Congs barbares.
Mais John en reviendra vivant avec l'un de ses amis.

De retour au pays, il finit par trouver sa place et un petit boulot. Mais le jour où son pote du Vietnam se fait tabasser par quelques loubards et qu'il est condamné à passer le restant de ses jours dans une chaise roulante, John a les nerfs.
Saletés de voyous qui ne respectent rien ! John va alors faire justice lui-même en sachant que la police est totalement impuissante.

On retrouve presque le même scénario que dans Un justicier dans la ville, à quelques petites différences près. Exterminator multiplie les scènes sadiques et pervers, notamment lorsqu'une bonne femme se fait torturer par un gros lard avec un fer à souder.
Le propos du film reste assez lamentable. Mais c'est presque à chaque fois le cas avec ces films de justicier. Exterminator n'échappe donc pas à la règle.
Ce n'est pas un nanar puisque ce film d'action n'est jamais fun ni amusant. C'est tout simplement un navet et un film sans intérêt.

Note: 03/20


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Olivier Walmacq 11545 partages Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Magazines