[test] ASSASSIN’S CREED II, UBISOFT

Les premiers éléments d’Assassin’s Creed 2 se montrent très convaincants. On retrouve dans les premières minutes Desmond Miles, le héros qui revit les aventures de  ses ancêtres. Une petite escapade et le voilà embarqué dans une quête sur son passé et une intrigue concernant l’Animus.

Un tuto vous permet suite à cela de se refaire la main avec le nouvel assassin et héros, Ezio. Séducteur et aventurier il coule des jours heureux dans la ville de Florence. Graphiquement, les cinématiques du début ne m’ont pas fait chavirer. Tout s’arrange lorsque le jeu démarre, avec Ezio.

Des petites missions pour récupérer ses marques. Une course avec le frère, une petite raclé au petit copain de votre sœur, transporter des messages pour votre père, bref un éventail qui permet de cerner en peu de temps les tenants du jeu. L’ambiance et la musique du jeu sont parfaites. L’histoire commence lorsque Giovanni, père d’Ezio mis en avant dans le film lineage, se fait emprisonner.

Je n’ai pas encore testé « les moyens de transport », bateaux, machines volantes et chariots, mais le personnage grimpe, court, saute et se déplace avec aisance dans une ville superbement riche. Le cadre est vivant et réactif, chacun s’affaire à ses occupations. Dans ce deuxième volet l’argent est primordial. On peut acheter de quoi revigorer Ezio après une belle chute ou quelques coups ramassés et surtout, il est possible d’améliorer l’équipement de sont perso. Une chose surprenante, Ezio ne porte pas le costume d’assassin. Il s‘équipera plus tard de l’armure de son père. La suite est une histoire de vengeance orchestrtée par un scénario un peu complexe à cerner.

Une autre nouvauté qui me plaît bien, la possibilité de faire prospérer la résidence familiale. En rénovant des bâtiments de la villa, de l’argent rentre régulièrement dans les caisses et il s’avère bien utile pour améliorer son perso. Conclusion, un exellent sentiment pour ces premières impressions d’ Assassin’s creed 2.