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Le Président et chef de la direction de la Sodec, Jean-Guy Chaput, crucifié sous de simples perceptions

Par Saguay
La crucifixion du président directeur général de la Société de développement des entreprises culturelles du Québec (Sodec), monsieur Jean-Guy Chaput, par les médias, la ministre de la culture et le premier ministre du Québec à la suite de la publication du rapport du Vérificateur général du Québec questionnant certaines dépenses de la société d'état témoigne d'une réalité qui tue le Québec à petit feu : les perceptions priment sur les vérités de faits. Ainsi, monsieur Chaput a été jugé coupable avant même qu'il puisse livrer sa version des faits. La ministre de la culture, des communications et de la condition féminine du Québec a déclaré à l'Assemblée nationale que monsieur Chaput n'avait plus l'autorité morale pour diriger la Sodec quelques heures avant la conférence de presse au cours de laquelle monsieur Chaput a réagit officiellement au rapport du Vérificateur général du Québec. La ministre a donc indiqué la porte de sortie à monsieur Chaput avant même que ce dernier s'explique sur certaines dépenses. Autrement dit, la ministre a fondé sa prise de position sur les perceptions du rapport du Vérificateur général soutenus au sein de la population par les médias.

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