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Assassin’s Creed 2 [critique]

Publié le 04 décembre 2009 par Jibouille

Ca y est enfin. Après des mois d’attente interminable, j’ai enfin acheté et joué à ce deuxième volet, dont j’attendais beaucoup, il faut l’admettre.

Assassin’s Creed 2 [critique]

Assassin’s Creed 2 se passe au XVIIème siècle, en Italie. Nous suivons Ezio Auditore, jeune homme et fils du héros de Lineage (le petit film produit pour la promo).

Alors, qu’en est-il du jeu lui-même?

Attention: gros spoil en perspective.

Ma première constatation est sur le scénario, bien plus poussé et intéressant que le premier. Il m’a fallu pas mal d’heures afin de le finir, non sans avoir galérer par endroit. Le jeu se construit comme un film où le héros se forme petit à petit car il n’est pas encore un assassin au début. Bref, à travers beaucoup cinématiques sympas, le personnage évolue bien, sur une période d’environ 10 ans.

Le système rappelle beaucoup celui du premier mais avec plus de liberté, notamment l’armement qu’il faut acheter (armes, armures et tous les gadgets) ou encore les quêtes secondaires, moins monotones et plus variées. Bref, j’ai parfois eu le sentiment de voir des airs d’Oblivion car on ne se sent pas trop dirigé.

L’histoire tient la route, autant que possible pour un jeu comme celui-ci, mais la fin reste un peu décevante, ou plutôt stressante car il faudra attendre le 3. Oui, il y aura un 3, ca ne fait aucun doute. On suit en parallèle beaucoup plus la vie de Desmond, que l’on peut manier comme Ezio, ce qui apporte un vrai plus. Les combats ont beaucoup changé avec plus d’armes, de mouvements et de techniques. un vrai plaisir.

Mais je mettrai trois bémols. Le premier concerne l’intro jouable très, voir trop longue, sans que l’on puisse la passer. Elle fait partie intégrante de l’histoire mais c’est un peu lassant à force. Le deuxième serait pour le héros, Ezio. D’un point de vue strictement personnel, Ezio n’a pas du tout le même charisme d’Altair. Ca peut paraitre insignifiant mais on s’en rendbeaucoup plus compte quand Altair refait parfois de brefs réapparitions (perçu comme une légende vivante et le meilleur assassin de tous les temps). Je n’ai pas eu autant de plaisir à manier Ezio. Le dernier point concerne la période du jeu. J’ai nettement préféré Jérusalem, Acre, ou encore Damas pour mes balades de toit en toit. Là encore, c’est tout à fait personnel.

Dans l’ensemble, Assassin’s Creed 2 est supérieur au 1. Les décors sont tout simplement magnifiques, détaillés, comme si on y était. Donc, il a répondu à mes attentes, même s’il y a encore quelques maladresses mais bien moins que dans le 1.


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