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Les scientifiques et leurs idees....

Par Maaxtal

GÉOINGÉNIERIE | Des scientifiques cherchent des solutions pour manipuler le climat afin de contrecarrer les effets du réchauffement. Folie, réponse ou solution?

Il ne faut pas trop jouer avec le feu.On ne va pas y gagner en voulant surcharger le systeme,tous les systemes au monde a qui l on fait des rajouts ne resistent jamais trop souvent.Combien de systeme d air conditionnes tombent regulierement en panne a cause de cela.Pourquoi creer des arb res artificiels,replantons ce qui a ete detruit,rendons dans un premier temps a mere Nature ce que l on a detruit,puis prenons des sanctions contre les gens qui sont derriere toute cette destruction.Je parle de ces fameux promoteurs,ces fameuses societes qui n ont qu un unique but commercial,qui se moaque royalement de ce que sera fait demain.Mais de grace,arretez de jouer avec une technologie qu aucun homme ne controlera jamais la nature.

Notre technologie est purement mecanique ,celle de la nature est bien plus compliquee que vos jouets Messieurs.

Une planete plus propre,une planete plus vivable,ne doit pas etre faite que de technique,de beton ,et d artificiel,ainsi que d etre superficiels.

La planète surchauffe? Refroidissons-la!

Et s’il était trop tard? Si nos efforts, même moins modestes, de réduction des émissions de dioxyde de carbone, de taxes environnementales ou de cuisine végétarienne n’étaient que des emplâtres sur une jambe de bois? Pourquoi ne pas opter pour une solution plus radicale: manipuler le climat pour contrecarrer les effets du réchauffement climatique. La planète surchauffe? Refroidissons-la!

C’est ce que préconise la géoingénierie. Loin d’être une élucubration dans la tête des négativistes du réchauffement, l’idée, soutenue par des scientifiques de haut niveau, est de moins en moins taboue. En 2006, le Prix Nobel de chimie Paul Crutzen, grand spécialiste de la couche d’ozone, avait ainsi jeté un pavé dans la mare en préconisant de larguer un million de tonnes de soufre dans l’atmosphère pour diminuer, en quelques années, la température moyenne de la planète.

Aux Etats-Unis, la cause fait son chemin. Le président Barack Obama ne le refuse pas. Le futurologue Jaime Cascio s’est résolu à la cause. Tout comme le prophète de l’apocalypse James Lovelock. Même les sceptiques du réchauffement climatique y trouvent leur compte: ils y voient une raison de ne pas trop s’en faire et de ne pas trop en faire.

Peut-on toucher au climat?

En septembre dernier, la très sérieuse Royal Society, l’académie nationale des sciences de Grande-Bretagne, a publié un rapport circonstancié sur le sujet. S’il émet des réserves sur certains effets secondaires de ces technologies (voir ci-dessous), il donne néanmoins du crédit et de la popularité au concept. «Notre recherche révèle que des techniques de géoingénierie pourraient avoir de sérieux effets inattendus sur beaucoup de gens et d’écosystèmes (pourtant, nous n’entreprenons pas la seule action qui nous éviterait d’y recourir).

La géoingénierie et ses conséquences sont le prix que nous pourrions avoir à payer pour notre échec à agir sur le changement climatique», estime le professeur John Shepherd, qui a présidé l’étude. Et de prévenir: «Utilisée de manière irresponsable ou sans considération des effets secondaires possibles, la géoingénierie pourrait avoir des conséquences aussi catastrophiques que le changement climatique lui-même.»

La géoingénierie reste ainsi pour les scientifiques un plan B. Mais il faut étudier ces options dès aujourd’hui pour les développer au mieux et avec le moins de surprises. D’autres scientifiques n’y croient pas.

Le climat est une chose tellement complexe (l’effet papillon, par exemple, une métaphore qui veut qu’un battement d’aile à Paris provoque une tempête à New York) qu’on ne peut prédire, même par des modèles mathématiques, les conséquences de perturbations aussi importantes.

Enfin, la géoingénierie soulève la question des moyens. Certaines techniques sont extrêmement coûteuses. En amont déjà, le débat est ouvert pour savoir s’il vaut mieux affecter les crédits à la recherche de solutions de géoingénierie ou au développement de technologies d’énergie renouvelables par exemple.


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