La plateforme se donne pour mission « la création de chaînes de numérisation complètes et modulaires (de la numérisation à la diffusion sur écran), permettant l’interopérabilité du contenu et de rendre intelligibles les documents numérisés à des fins de valorisation culturelle, éditoriale et économique ».

S'adressant tout à la fois à la presse, aux bibliothèques, aux éditeurs Polinum disposera d'un financement de 4 millions €, avec 1 million € d'investissement pour la plateforme elle-même, qui serviront à la recherche et au développement. Sa mise en place prendra 36 mois en tout.
Jean-Pierre Gérault, président du directoire de I2S nous précisera que « l'ambition de Polinum, c'est de parvenir à proposer des solutions même à Google, qui leur permettraient de faire un meilleur boulot, mais également de pouvoir, avec les mêmes sommes investies, arriver à des résultats plus intéressants. »
Se définissant comme une plateforme collaborative de recherche et développement pour la numérisation et la valorisation des fonds patrimoniaux, industriels et informationnels, Polinum tentera donc de « valoriser numériquement le patrimoine », tout en « créant, testant et validant », les modèles économiques des sociétés qui se présenteront à eux.
Une très grande importance est donnée au traitement des fichiers numérisés et plus particulièrement aux métadonnées, pour l'indexation et le référencement. Plus d'information sur leur site internet.