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Un vampire à Brooklyn

Publié le 12 janvier 2010 par Olivier Walmacq

12 janvier 2010

Un vampire à Brooklyn

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genre: horreur (interdit aux - 12 ans)
année: 1996
durée: 1h40

l'histoire: Maximilian appartient à une race de vampires exilée depuis des siècles aux Caraïbes. Pour assurer  sa descendance, il gagne New York, avec l'espoir d'y trouver sa semblable. Très vite, il découvre l'élue, Rita Veder.

la critique de Eelsoliver:

Wes Craven appartient à cette catégorie de réalisateurs capables du meilleur comme du pire. Parmi ses hontes aboslues, on citera notamment la colline a des yeux 2, l'été de la peur, Scream 3 et un vampire à Brooklyn. En vérité, tout le problème réside évidemment dans le choix de l'acteur principal, Eddie Murphy.
On le sait tous: cet acteur est l'abonné même des comédies alimentaires voire des films policiers (surtout dans les années 80).

Donc difficile d'imaginer cet interprète dans un film d'horreur, et tout particulièrement dans un film de vampires. L'histoire est donc assez basique, pour ne pas dire totalement inintéressante.
Un vampire, Maximilian, (donc, Eddie Murphy) cherche la partenaire avec qui il pourra assurer sa descendance. Rapidement, il trouve la personne idéale, Rita, une jeune femme qui sans le savoir, a des points communs avec les vampires.

Maximilian essaie alors de la convertir. Mais un flic, amoureux de la jeune femme, va s'interposer et faire capoter les plans de notre vampire de service.
C'est vraiment un navet désespérant et limite un nanar tant certaines scènes font involontairement rire. Je pense notamment à cette séquence où Eddie Murphy fait exploser un chien policier.

Humour lourdingue, acteurs absents qui se contentent de cachetonner, un vampire à Brooklyn signe vraiment la fin de la carrière d'Eddie Murphy et le range définitivement dans la catégorie des acteurs has-been. C'est vraiment l'un de ses pires étrons flotteurs !
Et pourtant, l'acteur s'y connaît en la matière: Appelez-moi Dave, école paternelle, Docteur Doolittle et j'en passe !

Note: 01/20

Posté par EELSOliver à 09:08


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