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Le temps où nous chantions : la capitulation

Par Epicure
Je déteste ça. Commencer un livre, surtout un livre précédé d'une rumeur favorable, et finalement l'abandonner pour toutes sortes de raisons plus ou moins valables.

Comme Geneviève était déjà passée par là j'aurais dû me méfier, mais non. Quelle idée aussi de me garocher dans une épopée familiale qui s'étire sur près de 800 pages, alors que j'ai à peine le temps et l'énergie de m'en farcir 2 par soir avant le dodo. Euh... ça veut dire qu'à ce rythme ça m'aurait pris style un an pour le finir??? Pffff...

Désolée mais après quelques cinquante pages réparties sur un peu plus d'un mois, l'intérêt s'est émoussé malgré l'histoire qui me semblait plutôt intéressante et c'est ce soir que je lance officiellement la serviette. Quelle soulagement! Je regardais cette grosse brique du coin de l'oeil avant chaque dodo en me disant, hum... demain. Wô! J'aime trop lire pour me faire subir quotidiennement ce déchirement atroce, vivement un autre roman. Mes plus sincères excuses M. Powers, ce sera peut-être pour une autre fois...


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