J'ai reçu un message sur mon téléphone de J.F hier, après l'atelier de vendredi:
"Mes genoux se sont dérobés sous moi. Je suis immense et j'accueille tout. Ici impossible d'avoir un nom"
Quand on marche et qu'on regarde droit devant, le corps est invisible. On ne voit plus ni ses jambes, ni ses genoux. Je suis alors juste une vision sans observateur. Un pur et vaste regard. Cette conscience n'a pas de nom en effet ; elle n'appartient à personne; elle n'a aucune caractéristique. Elle est vide et parce que vide, remplie par le monde, une avec le monde.