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À quoi bon lire un livre, alors qu’il est si facile d’en parler ?

Par Georgesf

Ceci n’est pas une page de publicité. C'est un simple avis, sobre et neutre comme un faire-part : « La commissaire n’aime point les vers » sera chez votre libraire dans deux jours. Si le roman n’y est point, évanouissez-vous sur sa table « Nouveautés ». Haletez, réclamez des sels. Exigez la présence de ce roman policier dont seule l'étincelante couverture jaune et noire peut vous ramener à la vie.

Vous êtes, je l’espère, aussi impatients que moi : que faudra-t-il en dire une fois que vous l’aurez lu ?


La question est mal posée : parlez-en d’abord, lisez-le ensuite (entre les deux, achetez-le avant qu’il ne soit épuisé).


Et pour que vous sachiez quoi en dire – sans vouloir vous influencer – je vous livre une première critique qui sonne à mes oreilles comme une cantate de Bach. Elle est si bien faite que j’ai l’impression de l’avoir écrite moi-même, à une nuance près : il y a une erreur dans cet article : le lieutenant Augustin Monot n’est pas normalien, il est simplement licencié-es-lettres modernes. J’en suis certain, car je suis son papa et sa maman
.

Pour blog B. Livres-Hebdo La commissaire...

Je précise que la mise en page de l'article a été refaite, pour en faciliter la lecture : il était horizontal (1/2 page), je l'ai converti en 1/4 de page verticale. Aucun mot n' a été changé.
 


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