Magazine Cinéma

Steel Frontier

Publié le 17 février 2010 par Olivier Walmacq

steelfrontier

genre: post-apocalyptique
année: 1995
Durée: 1h30

l'histoire: Après que la civilisation se soit effondrée, la Terre ne ressemble plus qu'à un vaste champ de bataille. Pourtant, quelques survivants fondent New Hope, une cité menacée par Quantrell et son armée. Seul Yuma est en mesure d'arrêter les projets de Quantrell.

la critique de Eelsoliver:

Je ne cesserai de le dire et de le répéter, Mad Max, de George Miller, inspirera de nombreuses séries Z post-apocalyptiques. En l'occurrence, Steel frontier, réalisé par Jacobsen Hart, fait partie de ces nanars fauchés et sans aucun intérêt.
Encore une fois, très influencé par Mad Max, Steel Frontier joue la carte du western de science fiction et met en scène un acteur bas de gamme, j'ai nommé Joe Lara, un interprète connu (enfin... connu...) pour avoir joué dans American Cyborg.
Un film que je chroniquerai sur ce blog un jour ou l'autre.

Joe Lara fait partie de ces acteurs à ranger parmi les purs et durs. On connaît tous Chuck Norris, Dolph Lundgren, Steven Seagal ou encore Michael Dudikoff...
Mais moins Joe Lara... Rassurez-vous, c'est normal ! Vraiment, parmi tous les acteurs cités, Joe Lara est le cancre ultime et le plus mauvais de tous !
C'est dire la médiocrité de cet interprète condamné à accepter ce genre de bouse pour bouffer et payer son loyer à la fin du mois.

Pour le reste, Steel Frontier nous plonge évidemment dans un monde ravagé par la guerre. Seuls, quelques survivants subsistent et c'est donc la loi du plus fort qui domine.
Des hordes de barbares pillent les rares villages qui tentent difficilement de survivre, en particulier la bande du Général Quantrell.
Cette bande de sauvages s'attaque alors à la cité de New Hope pour enrôler de nouvelles personnes et massacrent ceux qui s'opposent à leur chef.

Et Joe Lara dans tout ça ? Notre acteur tâcheron de service est en vérité le dernier espoir d'une humanité en péril et va alors affronter le gang de barbares.
Ce qui donnera lieu à une séquence de course-poursuite incroyablement nanardeuse entre une bagnole et un bus scolaire, le tout filmé avec un sérieux à toute épreuve !
Mais n'est pas George Miller qui veut. Une leçon qu'aurait dû méditer ce goinfré de Jacobsen Hart.

Note:

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