Magazine Beaux Arts

Plus que deux fois dormir ...

Publié le 21 février 2010 par Rl1948

   Des confetti ... ou des confettis ?
   Les dictionnaires ne s'accordent pas encore sur le pluriel de ce type de terme, préférant laisser ouverte la porte qui permet à chacun d'entre nous d'opérer un choix.
     Quoi qu'il en soit, rassurez-vous amis lecteurs : avant de m'avancer à vos côtés, tout bientôt, sur le recouvrement rouge moucheté du sol de la salle 5 du Département des Antiquités égyptiennes du Musée du Louvre où nous nous sommes précédemment donné rendez-vous, je prendrai soin de m'ébrouer de manière à ne point laisser de traces trop évidentes des journées du carnaval de Malmedy et des poignées de ces confetti(s) qui conservent l'insidieuse habitude de partout s'inviter, s'insinuer, se faufiler, se dissimuler, s'accrocher, s'installer ...
Vitrines-2---3-et-4-copie-1.jpg
     Des papyrus ... ou des papyri ?
     Au-delà de la réflexion orthographique que ce terme entraîne également, c'est d'un fourré végétal qu'il sera bien question dans les nouvelles interventions que je compte vous proposer dès ce mardi. Mais avant que dans ses ombelles nous nous enfouissions, je vous invite, tout d'abord,  le 23 février donc, à un petit détour par Nantes.
     Ensuite, le mardi 2 mars, j'évoquerai les raisons de la présence au Louvre du fragment peint E 13101 exposé au centre de l'imposant mur-vitrine, à droite ci-dessus. Et, subséquemment, nous réfléchirons de conserve, le 9 mars suivant, à propos d'un sujet sensible : les pillages modernes d'oeuvres antiques ; avant d'enfin, le 16 du même mois, admirer de près cette petite merveille de l'art funéraire de la XVIIIème dynastie égyptienne, dans un premier temps, à travers les yeux de son inventeur - c'est ainsi que dans la lexicographie notamment archéologique l'on désigne celui qui "trouve" quelque chose ;
E 13 101
et, dans un deuxième temps, la semaine suivante, en procédant,
comme parfois il m'a déjà été donné l'opportunité de l'envisager ici avec vous, à un décodage de l'image de cette récurrente scène palustre de pêche et de chasse dans laquelle, souvent, un fourré de papyrus semblable à celui-ci constitue l'élément  médian.  
     Nous serons à ce moment-là, si mon calendrier est respecté, le 23 mars. Déjà, les vacances de Printemps (ou de Pâques, comme on disait autrefois) se profileront à notre horizon.
     Mais qui donc est ce retraité de l'Enseignement, se  gausseront certains d'entre vous qui, pas encore vraiment  débarrassé des "stigmates" des festivités carnavalesques, nous entretient déjà du congé suivant ?
   Et j'en sais d'autres, que je préfère ne point entendre, qui ne se priveront pas de persifler que "tout cela est normal : les profs ne pensent jamais qu'aux vacances" ...
     Faux : mêmes retraités (pensionnés, comme dit le belgicisme), ils sont aussi grandement intéressés par la bonne chair !
   Et précisément, il me faut à présent vous quitter, amis lecteurs, pour honorer une tâche confiée par mon épouse : m'occuper du vin qui accompagnera les agapes de ce midi.
   Des spaghetti ... ou des spaghettis ? Nouveau dilemme ...
     Des pâtes. Ce sera plus simple.
     Mais aux scampi - là, je suis certain de la seule orthographe admise -, ce sera meilleur !
     Par la perspective alléché, j'allais presque oublier : on se voit mardi ?            


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