Un bon article contre les idées reçues: http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1320
Hé oui, on peut agor sur soi.D'autre part une psychanalise qui dure dix ans, c'est de la merde! LEs vraies cures étaient effectivement intensives, six séa,ces par semaine, voire au minimuem trois.Le travail et les congés payés ont fait que... C'était évidemment réservé aux riches;Mais il est vrai que sans un cerrtain degré initial de clarté, une psychanalyse ne sert à rien: il faut un minimul de culture.
Tout ça pour dire que, oui, on peut travailler sur soi. J'ai dû le faire pour sortir de la destruction intime due au harcèlement, aux scènes de ménage, à la perversité. De ce fait, il est important de considérer que ceux qui peersécutent sont COUPABLES.Car la peur d ela culpabilité est effroyable aujiourd'hui.Il faut dire qu'elle est trop ancrée dans le moral, la moralité.Un coupable, ça ne présente pas ses excuses, ça s'explique si on veut bien l'entendre et ça paie! Quant aux lavasses qui "culpabilisent" sans vouloir reconnaître leur culpabilité, tant mieux pour elles: leurs souffrance névrotique est une punition morose qui pourrit la vie.Regardons-les morfler comme des andouilles! C'est rigolo! Fallait pas, tas de cons!
Certes le monde chrétien (et non "judéo-chrétien", expression quasiment nazie pour vilipender tout ce qui ne ressemble pas à un bon aryen) a donné un aspect gluant à la culpabilité. Au point d'imprégner même la justice de morale. Or ce doit être mécanique: on condamne d'abord, si besoin est.Ce n'est qu'après, quand un lourde condamnation est donnée pour un acte immonde qu'on pense à l'atténuerà cause d'une enfance malheureuse, d'un problème psy, etc... Ou à relaxer au cas où ce soit nécessaire! Merde alors! Personne ne doit être seulement identifié à ses actes. MAis la justice ne doit tenir compte, dans un premier temps, que d'eux et d'eux seule. Après, on voit! Avec indulgence si possible.
Et l'on essaie aussi de changer de caractère, quand on est coupable...les rôles infligés dan sl'enfance peuvent se démasquer.au besoin, cassons la gueule à la mère, au père ou à l'aïeul qui nous a infigé un rôle qui a des conséquences néfastes...Les plus marrantes recommandations ont fait l'objet d'un livre: Les Mamandises. Une femme y recense les paroles COUPABLES des mères, genre "pleure pas comme ça, tu auras bien le temps quannd tu seras mariée"... Cette mère est COUPABLE comme ce père qui dit "tu finiras au bagne"! Il faut un jour affronter la famille, dire "je parle, cvous m'écoutez", déballer son sc et voir si ça tient encore après....sinon, la famile était bidon, malgré les fêtes chez Mamie et les réveillons à hilarité obligatoire! bien sûr, il y a Fest... affronte la famille, laculpabilité des "intouchables" parents: qu'ils s 'expliquenrt et qu'ils paient.De même pour le conoint abusif (qui souvent impose sa famile qui devient oppressante, même si elle est "très sympa")...
Alors au boulot! Refusons de peser sur els autres en croyant qu'on a un caractère une fois pour toute! EZvoluons au lieu de stagner.vivons au lieu d'emmerder nos proches...
La seule raison valable pour entreprendre une psychanalyse serait: arrêter d'emmerder les autres. Le bonheur, s'il existe, est à ce prix! Mais la délectation morose du malheur, c'est agréable aussi...
si quelqu'un vous dit "je suis comme je suis", c'est probablement un nuisible: giflage de la tronche, bugnage de la frite, vif chocs pédestres infra-lombaires, enfoncement du petit bout de bois dans les oneilles et du piment rouge dans le cul sont alors nécessaires mais insuffisant! Taîaut ! on n'est pas des veaux! Marre de la paresse affective!