Plus tard, je verrai peut-être (comme vous?) la page du Soir dédiée au roman que Nicolas Ancion écrit à Bruxelles...
Entretemps, j'aurai peut-être dormi un peu.
Si le début de polar qu'il vient de m'envoyer me le permet. Parce que je vais y penser, c'est sûr, et attendre la suite avec impatience.
Le commissaire Franck Garot, malgré sa gueule de bois, devrait se rendre compte, au petit matin, de ce que la disparition de sa fille Natacha est une affaires sérieuse.
Michel, de retour dans la cellule de sa prison, devrait se poser pas mal de questions sur ce que son fils Xavier lui a dit au parloir, sur ses demi-vérités, sur ses mensonges...
Il reste moins de 22 heures à l'auteur pour boucler cette histoire qui commence bien. Et dont on sent qu'elle possède déjà une structure. A découvrir, pour nous. Pour vous, pour moi...