La loupe et le carnet, c'est pour se donner un genre, hein, parce que non, l'enquête sur le terrain ça ne se pratique pas vraiment de la sorte. À moins de chercher une aiguille dans une meule de foin bien sec...
Donc, certains matins c'est dur. La faute à une conférence qui se finit tard, où des éditeurs soucieux de soigner votre foie vous abreuvent... de paroles, évidemment, jusqu'à la nuit tombée, et bien tombée.
Ce matin, donc, je laisse la parole à Julien, qui vous offre une chronique bien léchée du roman de Fabrice Colin, Big fan, radiohead, la fin du monde et moi.
Et je retourne me coucher...
