Magazine Cinéma
The Craft
Publié le 13 mars 2010 par Olivier Walmacq
Mes Plaisirs Coupablesgenre: épouvante (interdit aux - 12 ans)année: 1996durée: 1h35l'histoire: Quatre lycéennes décident d'avoir recours à la magie noire. Mais entre formules et incantations mystérieuses, des rivalités apparaissent dans le groupe.Les meilleurs films gores
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Le Cinéma d'Olivier > science fiction et anticipation > Knights, les chevaliers du futur
12 mars 2010
genre: science fictionannée: 1993durée: 1h30
l'histoire: Dans le futur, les derniers hommes à la surface de la planète ne sont désormais plus que du bétail pour Job, le chef d'une armée de cyborgs. Mais Néa, une guerrière, se dresse contre lui. Elle est aidée par l'androïde Gabriel dans sa croisade.
la critique de Eelsoliver:
Albert Pyun est un artisan connu du cinéma bis, et le réalisateur a déjà sévi dans le genre post-apocalyptique avec le nanardeux Cyborg, un film de science fiction et de baston avec Jean-Claude Van Damme. Ici, le cinéaste revient à ses premières amours, avec Knights, les chevaliers du futur. Sauf qu'ici, Albert Pyun tient à nous faire part de sa passion pour les robots.
Inutile alors de préciser que l'on se trouve devant un véritable nanar de série B (pour ne pas dire série Z) tant le film semble fauché.Pour le reste, l'histoire nous plonge sur une Terre ravagée par une guerre nucléaire. Ce qui n'empêche pas le réalisateur de nous proposer parfois quelques paysages étrangement boisés.
Pour le reste, Knights, les chevaliers du futur a majoritairement été tourné dans le désert, afin de donner cette impression de monde détruit et post-atomique.Les cyborgs ont pris le contrôle de la planète et dominent les humains. Un scénario que l'on retrouve dans de nombreux ersatz du même genre.Au hasard, on citera American Cyborg, avec ce goinfré de Joe Lara.
Mais il existe encore un espoir. Cette fois-ci, l'espoir est incarné par une jeune femme musclée et en révolte contre la dictature des cyborgs.Elle fait alors la rencontre de l'androïde Gabriel (interprété par Kristofferson). Ce dernier va lui apprendre à combattre les robots. Devant le courage de cette jeune femme vaillante, d'autres hommes vont se rebeller et entrer en guerre contre les machines.Voilà donc une série B ambitieuse mais définitivement nanarde, fauchée (encore une fois) et desservie par une réalisation honteuse, et ce, malgré de nombreuses séquences de bastons, assez ridicules au passage.
Note: 04/20Note nanardesque: 14/20
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Voilà un film qui a dû inpirer la série Charmed, j'ai nommé The Craft, réalisé par Andrew Fleming en 1994. Il s'agit d'une sorte de teen movie entre film fantastique et film horrifique.La formule est assez simple puisque l'on suit les aventures de quatre lycéennes adeptes de la magie noire. Au sein de leur bahut, elles inspirent la crainte et la méfiance puisque tout le monde les prend pour des sorcières.L'une d'entre elles, Sarah débarque au lycée et va très vite s'allier à cette petite bande. Mais rapidement, elle se sent mal à l'aise dans ce nouveau groupe.Au même titre que ses nouvelles amies, elle possède un véritable don pour la magie mais refuse d'utiliser ses pouvoirs au service du mal.Elle rencontre alors une nouvelle adversaire, Nancy (Fairuza Balk) qui exerce une domination hypnotique sur ses deux autres comparses.Tout cela va alors déboucher sur un affrontement entre Sarah et les trois autres sorcières, entres autres reponsables de la mort d'un lycéen.Les choses prennent donc une tournure dramatique. Mais Sarah a un atout en main: sa mère est une ancienne sorcière redoutable et elle a hérité de sa grande force.En résulte un film d'épouvante correctement ficelé sans passionner pour autant, mais les quatre actrices sont plutôt convaincantes.Note: 11.5/20