Magazine

Le gardien du testament d’Eric Van Lustbader

Publié le 20 mars 2010 par Angelita

le-gardien-du-testament

08/1442 : Trébizonde et le secret sont menacés par l’Eglise.

A Washington, Dexter Shaw se fait attaquer par un Chevalier. Il a été repéré et le nombre de morts augmente depuis 2 semaines. Il mourra chez lui dans l’explosion de la maison après avoir vu son fils Brav. Ce dernier a étudié les religion médiévales. Il est un peu en froid avec son père.

Puis, c’est la chasse au secret laissé par Dexter. Brav est aidé par Jenny, membre de l’Ordre, jusqu’à ce que celle-ci disparaisse. De nombreux morts jalonnent leur passage.

Brav croit que Jenny l’a piégé mais il continue sa quête, se remémorant son père, son instruction.

L’enjeu : le testament de Jesus Christ et la quintessence.

Même si ce roman est très bien documenté concernant le pouvoir de l’Eglise, ceux qui oeuvrent en dessous pour s’en défaire, le nombre de lieux impressionnants visités, nous avons, pour ceux qui l’ont lu, un arrière goût de Da Vinci Code. La mort d’un homme, son fils est le gardien de sa mémoire et doit retrouver le secret (dans l’autre c’est une fille), il est aidé par un gardien femme (dans l’autre c’est un homme policier).

Histoire du monde, de la religion, de ceux qui veulent le bien contre les forces du mal et qui essaient d’aider et de rester en vie en ayant un gardien qui détient la clé.

Le traître final est facilement repérable mais nous avons énormément de rebondissements quant aux autres dont la fidélité à un seul ne compte pas. Nombre impressionnants d’amis de Brav qui se révèlent être ses ennemis.

A cela se tisse une histoire d’amour. Avoir le pouvoir est ce qui mène le livre.

Toutefois, Brav est un personnage attachant qui essaie de retrouver les liens avec son père décédé. Ils ne se sont jamais trop compris depuis que Brav est adulte. Cette quête du testament le rapprochera de lui plus qu’il ne le pense au départ. Il découvrira le passé de son père mais ne portera pas d’avis négatif sur ce passé.

Personnellement, j’ai trouvé gros comme une maison le fait que les personnages puissent voyager de cette façon. Ils ont de l’argent, leurs papiers, mais comment ? Avec tout ce qui leur arrive, on se demande comment ils font bien qu’ils soient fatigués, blessés.

C’est vraiment tiré par les cheveux.

Pour ceux qui ne se posent pas trop de questions et qui n’ont pas lu Da Vinci Code, cela permet de passer un bon moment. Pour les autres, je le déconseille.

Lu dans le cadre du Prix littéraire des Bloggeurs de George Sand.

ééé

La liste des entrées complémentaires est établie par le module d’extension YARPP.


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Angelita 404 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte