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Où l’on arrive à l’âge des additions

Publié le 02 avril 2010 par Pbmv
Bonjour les quiches,
Aujourd’hui, suite à l’inflation de mails d’annonce que j’ai reçus ces derniers temps, je dois faire un petit point fiançailles – mariage. Selon les cas, voici ma position de principe. Et c’est bien la seule position sur laquelle je ne transigerai pas.
Quand je connais les deux : je suis TOUJOURS contente. Ce matin encore.
Quand je ne connais pas l’un des deux, je me réserve toujours le droit de débiner l’autre, puisque je n’ai qu’un son de cloche et que je suis une amie très fidèle.
Quand je vois la liste de mariage, je me réserve toujours le droit de faire des commentaires sur la pertinence des choix.
Quand le « je » qui avait droit de cité est remplacé par un « nous » gnan-gnan, je me réserve le droit de taper.
Quand un couple ne fait que des activités de couple et n’a plus d’activité chacun de son côté, je ne rappelle pas.
Quand on m’appelle pour un baby-sitting de mariage et que je ne connais ni le marié, ni la mariée, et que le mariage est dans trois semaines, je me réserve le droit de dire : « tu se touches, je ne suis pas un pigeon ».
Quand je reçois un faire-part de naissance, je me réserve toujours le droit d’émettre un rire moche et gras en fonction du prénom choisi.
Et je vous rappelle l’adage d’un mariage réussi. « Après la messe, j’enlève la veste. Après le cocktail, j’enlève le chapeau, et après le dîner, j’enlève la robe ».

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