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Peng Xang ou le chant de l’éléphant du 21 au 25 avril pour les enfants

Publié le 10 avril 2010 par Dentelle

du 21 au 25 avril 2010
pour les enfants à partir de 6 ans accompagnés (durée 50 mn)
Peng Xang ou le chant de l’éléphant est un spectacle sur l’humanité magnifique que nous renvoient les éléphants. Avec Peng Xang, François Small et son équipe célèbrent ce géant si délicat, au travers du papier, du masque, des objets du quotidien, des marionnettes.Peng Xang ou le chant de l’éléphant du 21 au 25 avril pour les enfants

Inspiré de textes littéraires (Romain Gary, Alexandre Vialatte) et de contes asiatiques et européens, le spectacle se compose de neuf poèmes visuels et musicaux, tissés par le clown Smol. Il met en scène trois manipulateurs de marionnettes, un conteur, une musicienne et une couturière qui, au fur et à mesure de l’histoire, fabrique le décor de la pièce, en papier et écorce de mûrier…

Un voyage tendre et sensible, comme un pont entre deux cultures pour garder en nous la mémoire des éléphants…

mercredi 21 avril 2010 à 15h
jeudi 22 avril 2010 à 15h
vendredi 23 avril 2010 à 15h
samedi 24 avril 2010 à 15h
dimanche 25 avril 2010 à 15h

théâtre Claude Lévi-Strauss
réservations au 01 56 61 71 72

musée du quai Branly
37, quai Branly
75007 – Paris

mardi, mercredi et dimanche : de 11h à 19h
jeudi, vendredi et samedi : de 11h à 21h

http://www.quaibranly.fr

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LES COMMENTAIRES (1)

Par Almellit
posté le 23 mai à 18:19
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Peng xang c'était magnifique,  De la poésie tout en rire, créée par des décors d'une très belle simplicité, une Lumière asiatique, un violoncelle parfaitement dans le ton, et parfaitement laotien... Une sale remplie d'enfants, mais les adultes riaient autant. Ley n'a pas arrêté de commenter, de rigoler, elle a été prise du début à la fin. On a vu un millier d'elephants de toutes sortes, en arrosoirs, en draps, en tubes. Simplicité des materiaux mais rendu parfait, cela donne toute la poésie asiatique et le charme de la pièce. Sans compter qu'un deuxieme spectacle se deroule à cote: on peut revoir toute la piece en meme temps en ombres chinoises sur des panneaux placés sur le coté: de parfaites ombres elephantes! On passe du clown à la beauté la plus frappante sans arrêt; puis tout Dun coup on bascule dans une grande tristesse, qui a été ponctuée par un enfant qui a éclaté en un franc sanglot, commenté par Ley: ils n'auraient pas du le mettre le pirate là! (en fait c'était la mort pas un pirate)  mais le message en vaut le coup...   Lambiance générale du theatre, l'accueil chaleureux, le nombre d'enfants, le gaspacho offert a la fin, la discussion avec les artistes, tout contribuait à nous faire vivre un petit moment d'exception completement magique.    

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