L’irréparable Saint-Georges : le 30 avril au Monument-National à Québec !

Eddy Toussaint

C'est la Cyberpress du Canada qui laisse passer cette infomation.

http://www.cyberpresse.ca/arts/spectacles-et-theatre/danse/201004/24/01-4273930-lirreparable-saint-george-eddy-toussaint-toujours-vivant.php

Saint-Georges avait déjà de très nombreux qualificatifs.

•    Le meilleur boutonnier de France.

•    Le moineau, par son père.

•    Le fameux Chevalier de Saint-Georges par tous ses biographes.

•    L'aigle noir par Louise Fusil.

•    Le célèbre Chevalier.

•    Le mulâtre

•    Le mal blanchi, par Sophie ARNOULD

•    L’Américain,

•    Mon américain favori, par Marie Antoinette.

•    L'excentrique (Thompson)

•    L'extravagant (Riemann)

•    Le créole

•    Un prodige à Paris, un jeune Mars, par Émile F. SMIDAK

•    Le Don Juan noir, Alfred MARQUISET

•    Le Voltaire de la musique ou le Voltaire noir par l' Abbé Grégoire.

•    Le Mozart noir par la presse.  

•    Le nègre.

•    Le nègre créole.

•    Le nouvel Alcibiade.

•    L'extraordinaire mulâtre de la Guadeloupe. Henry BERANGER, Sénateur de la Guadeloupe.

•    Le Brillant papillon de la Guadeloupe, par Henry BERANGER, Sénateur de la Guadeloupe.

•    Un véritable protée des arts par Joël-Marie FAUQUET

•    Le célèbre Chevalier de Saint-Georges (Journal de Paris 28 février 1777)

•    Le cinquième mousquetaire.

Il faudra dorénavant ajouté l'irréparable ! Reste à trouver le vrai sens de ce mot.

Nous souhaitons du succès à Monsieur Eddy Toussaint et tous les artistes qui l'accompagnent dans cette aventure.

C'est un spectacle de ballet qui intégrera des éléments de théâtre et de chant classique, avec la soprano Brigitte Marchand dans le rôle de Marie-Antoinette, les acteurs Ralph Prosper (Saint-Georges) et Christophe Rapin (le géôlier), ainsi qu'un groupe de huit danseurs, dont Clara Houdet et Timothy Hopkins, qui incarneront à leur façon la reine et le compositeur.

Le spectacle a été écrit par l'auteur Bernard Dion et la direction musicale sera assurée par le baryton Norman Robert.

Selon Bernard Dion, il ne s'agira ni plus ni moins que «d'une intérprétation historico-poétique» et d'une «vision d'auteur de la vie de Saint-Georges».

Il faudra alors replacer le Chevalier de Saint-Georges dans son siècle, le XVIIIème, et essayer de prouver enfin pour une fois que Napoléon est intervenu soi même pour interdire la musique de Saint-Georges.