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Harley Davidson et l'homme aux santiags

Publié le 30 avril 2010 par Olivier Walmacq

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genre: action
année: 1991
durée: 1h35

l'histoire: Motards, Harley Davidson et Marlboro décident de retourner au bar du Vieux. Mais, Burbank ne ressemble plus à la ville de leur adolescence. Le Vieux est menacé d'expulsion par un homme d'affaires sans scrupules. Harley a son idée pour régler le contentieux: il veut attaquer un fourgon blindé afin de payer l'homme d'affaires avec son propre argent.

la critique de Eelsoliver:

Harley Davidson et l'homme aux santiags, réalisé par Simon Wincer en 1991, est vraiment le film de motards. Un genre rarissime au cinéma.
Il faudrait probablement remonter à Easy Rider pour trouver la référence du genre. Mais Harley Davidson and The Marlboro Man (c'est le titre original) est loin d'égaler le film de Dennis Hopper.

Pour autant, ça reste un film débridé, fun et amusant à regarder. C'est définitivement un film d'action musclé qui ne se prend pas au sérieux.
Aussi, est-il assez rigolo de retrouver deux acteurs has-been: Mickey Rourke, pas encore détruit par la chirurgie esthétique à l'époque, mais avec une coupe de cheveux ridicule; et Don Johnson avec ses fameuses santiags, dans le rôle de Marlboro.

Comme je l'ai déjà souligné, Harley Davidson et l'homme aux santiags est un film à regarder au second degré. Le scénario est pour le moins inexistant et tient à peine sur une ligne.
Deux motards (donc, Harley Davidson et Marlboro) retournent dans le bar de leur jeunesse. Mais le propriétaire, le Vieux, est ennuyé par un homme d'affaires véreux.

Prêts à tout pour le sauver, Harley Davidson et Marlboro engagent alors le braquage d'un fourgon blindé qui appartient à ce banquier peu sympathique.
C'est le début de nombreux ennuis et surtout, de bastons et de séquences d'actions plutôt bien menées. On ne s'ennuie jamais et on passe plutôt un bon moment.
Et il ne faut pas en demander plus à ce genre de film, un peu nanardeux sur les bords, mais qui remplit largement ses fonctions.
En résumé, pour moi, c'est un plaisir coupable !

Note: 12/20


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