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Alone in the dark

Publié le 01 mai 2010 par Olivier Walmacq

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genre: horreur (interdit aux - 12 ans)
année: 2005
durée: 1h35

l'histoire: Lorsque son meilleur ami trouve la mort au cours d'une mission sur une île mystérieuse, le détective Carnby décide de continuer l'enquête et fait équipe avec une anthropologiste, car l'objet de l'enquête est de retrouver des tablettes gravées d'inscriptions non déchiffrées à ce jour.

la critique de Eelsoliver:

Avant tout, il est nécessaire de dire quelques mots sur Uwe Boll, réalisateur de ce Alone In The Dark. Depuis déjà quelques années, Uwe Boll est considéré comme l'un des pires cinéastes.
Pourquoi ? Parce qu'il a signé tout de même quelques séries B peu recommandables: Bloodrayne 1 et 2, House of the dead 2, king of Rising...

Voilà une carte de visite qui ne plaide guère en sa faveur. Aussi, chaque nouveau film de Uwe Boll inspire la méfiance. Et malheureusement, Alone in the dark n'échappe pas à la règle.
Dans ce film d'horreur, on retrouve un acteur devenu has-been depuis de nombreuses années: Christian Slater, une star qui a connu la gloire dans les années 90.

Oui mais voilà, Hollywood ne veut plus de lui, ou alors dans des seconds rôles. Pour pouvoir manger à la fin du mois, Slater doit donc accepter quelques séries B de seconde zone.
Alone in the Dark est de ceux-là ! Sincèrement, ce film est tout de même assez lamentable. Certes, on sent le film au budget serré (pour ne pas dire fauché...) mais les effets spéciaux et visuels ont au moins une dizaine d'années de retard.

Et puis, les acteurs ne sont pas très bons. Durant tout le film, Slater se démène et court à peu près partout. Il aura même une relation amoureuse peu passionnante avec une anthropologiste qui enquête avec lui à propos de tablettes mystérieuses.
En vérité, ces tablettes délivreront un monstre terrifiant: ce qui donnera lieu à quelques séquences d'action plutôt bien foutues.
Mais l'ensemble s'avère assez ennuyeux. Dommage, car on sent que ce cinéaste possède quelques qualités, et qu'il peut, quand il le veut, se montrer surprenant.
Pour cela, je renvoie à la critique du film Postal.

Note: 05.5/20


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